Ces récits, inspirés des pélerinages les plus connus (l'Inde et le Tibet pour les Bouddhistes, le Japon pour les Shintoïstes, la Mecque pour les Musulmans, Saint-Jacques de Compostelle pour les Catholiques, etc.), invitent les marcheurs à un itinéraire de sagesse et de spiritualité.
Longtemps intégré dans l'espace sacré de l'église, le labyrinthe entre au Moyen Age dans l'architecture du jardin, dans laquelle il introduit une interrogation métaphysique. Cet essai montre comment la forme labyrinthique peut servir de support à la réflexion philosophique sur le jardin, mettant en lumière l'importance du jeu et de l'égarement.